Le CODIR se resserre

Le CODIR se resserre

Partagez l’expérience d’un client d’Humour Consulting Group (par respect de la confidentialité de nos clients, nos récits ne dévoilent jamais leurs noms) 

La solution HCG : Le Séminaire Vérité

UNE HISTOIRE DE SILOS

Le Comité de Direction de cette société industrielle, petit bijou de technologie dans des marchés solides, était très efficace bien sûr puisqu’il permettait de maintenir une position forte mais, vu sous un autre angle, il était aussi très perfectible. Les directeurs travaillaient bien chacun dans son domaine mais travaillaient-ils entre eux ? Pas vraiment.

Tout cela fonctionnait dans une routine fortement installée où la transversalité avait assez peu pénétré. Ce manque de coopération, parfois même de solidarité, conduisait à un rallongement des délais, souvent problématique voire menaçant. On pouvait aussi penser que les nombreux couacs entre les métiers entraînaient des surcoûts non négligeables, même si ceux-ci se noyaient dans une très bonne rentabilité.

 

S.O.S. REVOLUTION CULTURELLE

Tout à coup, cette belle quiétude est bouleversée par la prévision d’une forte croissance. C’est une très bonne nouvelle pour la société : prospérité, pérennité, bonheur dans les familles. Mais, pour chacun, cela veut dire « mobilisation générale », en d’autres termes, « on se bouge le popotin ».

Or ce n’est pas si facile dans un environnement au fonctionnement très établi, pour ne pas dire immuable, avec des habitudes forgées par une longue histoire. Le DG nous appelle : S.O.S. ! Il faut l’aider à faire bouger cet univers figé.

 

Mais S.O.S. quoi ? S.O.S. Révolution culturelle !

En effet, il faut fluidifier les opérations, les relations entre les équipes et les modes de management. Cela passe d’abord par une prise de conscience du CODIR. Il faut que le changement s’installe dans les têtes et le reste suivra.

 

CHACUN POUR SOI

Nous allons à la découverte de ces directeurs aux métiers passionnants. Et, là, nous nous rendons compte que tout le « soft » du CODIR, c’est-à-dire les relations et la cohésion, a été laissé en jachère. La pression qui s’exerce sur chaque directeur a favorisé son isolement.

Ce fonctionnement en silos a aussi été provoqué par l’étrange tyrannie d’un ancien membre du CODIR qui empêchait tout dialogue détendu. Ainsi, les objectifs des directions sont divergents voire antagonistes. Chacun a le nez sur son propre guidon, l’objectif commun n’est pas formulé, c’est chacun pour soi.

 

Nous regardons vers le haut, il faut toujours regarder vers le haut pour comprendre une entreprise, et devons reconnaître que le DG, malgré ses multiples talents d’entrepreneur, n’est pas passionné par le management des hommes. Bien sûr, il ne nous viendrait pas à l’idée de lui jeter la pierre car tout cela est le fruit d’une histoire qui, malgré les difficultés, a bâti un leader. Mais il faut absolument que ces managers évoluent. Il faut un électrochoc.

 

LE SEMINAIRE VERITE

Nous déployons notre démarche, entretiens avec chaque membre du CODIR puis discussion approfondie avec le DG autour de notre rapport. Ensuite, Serge GRUDZINSKI écrit tout cela sous la forme d’une Présentation Humoristique de Management (PHM) qu’il délivre en introduction du séminaire du CODIR : une heure de partage de ces vérités essentielles, parfois indicibles, que Serge GRUDZINSKI parvient à dire grâce à l’ambiance exceptionnelle de connivence, d’intelligence collective et de bienveillance qu’il instaure avec le Grand Rire Unanime (GRU).

 

Après avoir reconnu les forts atouts et les grandes réalisations de cette équipe, il expose les dysfonctionnements, les relations impossibles, les comportements destructifs, …

Il balance tout, c’est du lourd ! Mais les participants encaissent toute cette vérité car ils sentent bien que notre démarche est constructive et bienveillante.

Ensuite, une fois les rires calmés – eh oui ! c’est fou mais toutes ces difficultés font rire ceux-là même qui les provoquent et qui en souffrent – nous poursuivons les sessions d’expression, de réflexion, de décision et, au bout d’un jour et demi, nous concluons.

 

LES ACQUIS DU CODIR

Nous avons tous ensemble soulevé cette chape de plomb, sorte de couvercle lourd d’émotions négatives qui semblait accabler l’équipe. Les top managers ont pu mettre sur la table des sujets dont, malgré leur réunion hebdomadaire, ils ne parlaient jamais. Nous avons libéré les énergies bridées, les top managers ont changé leur regard sur leurs collègues et le CODIR a tourné la page d’une époque de silence.

 

D’un point de vue opérationnel, les directeurs ont décidé des actions-clé qui peuvent vraiment faciliter et améliorer le travail de leurs équipes.

Quand ces managers nous ont dit au revoir, leurs regards pétillaient, on sentait un nouvel enthousiasme.

 

Florilège final :

« super effet miroir »,

« criant de vérité »

« un dialogue amorcé en toute franchise »

« puisqu’on se dit les choses… »

« on s’est lâché »

« on a tout balancé »

« très bon travail d’échange »

« j’ai appris des choses » (le DG !)

« objectif atteint »

 

 

Quant à nous, nous avons passé une journée et demie en forte empathie avec ces industriels aux métiers hyper rigoureux (la marge est le micron) et nous avons eu un immense plaisir à casser leurs rigidités personnelles et d’équipe et à les voir ébaucher des projets communs.

Et bien sûr, toujours le Grand Rire Unanime (GRU): « vous m’avez fait pleurer de rire » !

 

Mobiliser votre équipe avec le Grand Rire Unanime?

Il est grand temps!

 

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